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Le Port d'Arcachon lourdement endetté sur 20 ans

18/12/2014
1 commentaire

 
  Le Port d'Arcachon s'est lourdement endetté sur 20 ans pour développer l'activité commerciale portuaire alors que celle-ci tend à fuir Arcachon et se rapprocherait des communes voisines. Le bétonnage du Port d'Arcachon a cassé la dynamique économique et sociale et brisé les relations commerciales entre les plaisanciers et les professionnels du nautisme installés sur le port depuis longtemps.
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Commentaires :

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  • FandeVoile dit :
    26/12/2014 à 14h 22min

    La Galère des places de port En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/une-place-au-port-quelle-galere_1367631.html#B3lxcCGdkbFIgqMw.99 Arcachon Symbole du problème français, le port de plaisance compte 3 200 inscrits en liste d'attente pour un délai de trente ans. Alors qu’en cette période hivernale 2014 / 2015, de très nombreuses places sont inoccupées, faisant le bonheur des prestataires d’hivernage à sec Et pour cause un prix d’emplacement Hiver dont le niveau élevé chasse les plaisanciers. Et puis une Direction « anti – tout », n’étant à l’écoute que des nantis et pas de vrais navigateurs, amoureux du Bassin d’Arcachon et dont le bateau est le plus souvent à terre, car mal ou peu considéré par les hautes instances d’un port qui se meurt. Activité réduite à néant en cette saison hivernale, professionnels fuyant le nouveau Pole Nautique, etc…… Ou sont les recettes, quel sera le bilan comptable ? Qui est responsable ? LE RETOUR DU BATON Dans les années qui viennent, un phénomène démographique va changer la donne : le vieillissement d'une grande partie des propriétaires de bateaux de plaisance. Selon Horizons Experts, près de 28 000 places de port sont actuellement occupées par des plaisanciers de plus de 70 ans. Lorsqu'ils vont lâcher la barre, une partie de leurs bateaux seront repris par des héritiers, certes, mais un bien plus grand nombre seront mis en vente. Libérant massivement des places de port, alors que beaucoup de trentenaires et de quadragénaires, frappés par la crise ou rebutés par le manque de places, se détournent de la plaisance. Le cabinet d'expertise souligne que, pour assurer le "renouvellement des générations", il manquera de 4 000 à 5 000 nouveaux plaisanciers par an. "En 2009, le nombre d'immatriculations de bateaux neufs a déjà chuté de 25 %", martèle Francis Giniaux, de STW. Si les ports français ne trouvent pas le moyen d'attirer une nouvelle génération de plaisanciers, ils pourraient se retrouver devant une autre pénurie : celle des bateaux.